De l'évolution de la fréquentation des carrières
Tout le monde est au courant des travaux de surface qui entraînent des conséquences catastrophiques pour le résau parisien. Les conséquences de la construction de la ZAC d'Alésia ne sont plus à démontrer, le chantier METEOR à lui aussi entraîné de grave bouleversement dans le réseau du XIII°. Plus récent, le chantier du parking souterrain de saint-michel où une entreprise tristement célèbre officie : SOLETANCHE. D'autre part des bruits courrent sur une éventuelle fermeture du réservoir dela vanne.
Ces chantiers, qui prévoient l'injection des vides de carrières sous-minant ceux-çi, finissent petit à petit par réduire la superficie du réseau parisien.
On est en droit de se demander comment la fréquentation du réseau va évoluer.
A priori, un déplacement vers les carrières de banlieues sera perceptible petit à petit. Ce phénomène est déjà visible : de nombreux cataphiles, mais on devrait dire carrièrophiles ou bien souterrainnophiles, passent de plus en plus de temps en banlieue. L'avantage de ces carrières est qu'elle sont relativement peu fréquentées, donc propre. D'autre part leur diversité apporte un renouvellement jamais démenti.
Mais, pour que ces réseaux continuent a vivre paisiblement et ne ressemble pas un jour aux carrières de Meudon, il reste essentiel, comme on ne le répète jamais assez souvent, de rester discret sur leur localisation.
Mais pour l'instant, le réseau parisien n'est pas encore mort, alors bonne descente.