Figaro-ci Figaro-là
Après avoir acueilli plus ou moins chaleureusement des journalistes de diverses nationnalités, travaillant à la télé, la radio ou dans la presse écrite, nous allons recevoir des gens bien de chez nous, je cite : ces messieurs du Figaro.
Comme tout le monde le sait, le Figaro n'a pas le même crédo que Libération ou Charlie Hebdo. Il n'a donc pas les mêmes méthodes. Ainsi, alors que la plupart des autres journalistes ont choisi de descendre guidés par des membre du mouvement clandestin en jouant l'intégration, la méthode Figaro ressemblera plus à celle de TF1.
En effet, le reportage qui va être effectué ici bas en Janvier ou en Février, s'inscrit dans une suite d'articles traitant de sujets si possible violents (y a que ça qui se vend) tels que des interventions militaires ou policières.
Selon nos sources, les journalistes effectuant se reportage accompagneront (ou serront accompagnes par ?) la B.I.C. (Brigade d'Intervention en Carrières), brigade, probablement montée de toutes pièces, dont les membres font partie des troupes de chocs de la police Nationnale (genre GIGN des carrières).
Ainsi, ces journalistes espèrent pouvoir obtenir des image de dangereux cataphiles en prise avec des super-flics. Il ne s'agira plus du gentil Saratte dans le 52 sur la lune mais d'une troupe d'énervés sur lesquels toutes les caméras seront braquées.
En conclusion, il ne faudra pas se trouver au mauvais endroit au mauvais moment ce soir là. D'un autre côté, une fois n'est pas coutume, les ktas ne seront pas montrées comme la cour de récréation des jeunes parisiens en mal d'aventure. Et ce n'est pas si mal, en espérant que ça pourra en décourager plus d'un de descendre.